Un article récent de Monica Zibovicius transmis par Sylvie Casanova, Vice présidente de l"Union.
Un article intéressant de l"excellent magazine DECLIC concernant les aspects patrimoniaux , intéressant les parents et aussi les grands parents…
Photo prise le 20 mai 2003 dun enfant autiste dans la salle de jeux de linstitut médico-éducatif (IME) Notre Ecole à Paris. (AFP/JOEL ROBIN)
Une équipe de chercheurs britanniques assure avoir testé avec succès une nouvelle manière de diagnostiquer lautisme, rapporte le Guardian. Le test consisterait en une simple IRM (imagerie par résonance magnétique) du cerveau dune durée de quinze minutes. Pour linstant, diagnostiquer lautisme est un processus très long qui nécessite plusieurs tests et entretiens avec un psychiatre.
Les chercheurs ont comparé les cerveaux de 20 hommes adultes atteints dautisme à ceux de 20 hommes non affectés par la maladie. Ils ont trouvé des différences significatives dans lépaisseur des tissus de certaines parties de la matière grise des lobes frontaux et pariétaux, lesquels commandent le comportement et le langage, explique le Guardian.
La technique dimagerie cérébrale que les chercheurs ont mise au point permettrait de détecter ces différences et donc de diagnostiquer la maladie avec un taux de fiabilité de 90 %. Si les chercheurs concurrents interrogés par le quotidien saluent une initiative qui permet de poser un diagnostic fondé sur un biomarqueur objectif et pas simplement sur lopinion dun médecin, ils rappellent que cette expérience en est encore au stade préliminaire et doit donc encore être renouvelée pour être validée et éventuellement utilisée systématiquement.
Les scientifiques à lorigine de la découverte se veulent toutefois optimistes et assurent que leur technique de diagnostic pourrait être encore plus efficace sur des enfants. Les anomalies cérébrales de lautisme varient au cours de la vie et elles sont plus importantes durant lenfance. Si on atteint 90 % de fiabilité chez les adultes, nous pensons donc que ce taux peut être encore plus élevé chez les enfants, assure Christine Ecker, la chercheure à lorigine de létude.
Source : Le Monde du 11 août 2010
Article paru dans la revue de presse du Handicap. Nous pouvons être concernés.
Nouvelle procédure de sortie des personnes hospitalisées pour troubles mentaux sans leur consentement
Une personne hospitalisée sans son consentement ou retenue dans quelque établissement que ce soit, public ou privé, qui accueille des malades soignés pour troubles mentaux, son tuteur (si elle est mineure), son tuteur ou curateur (si majeure, elle a été mise sous tutelle ou en curatelle), son conjoint, son concubin, un parent ou une personne susceptible d"agir dans l"intérêt du malade et éventuellement le curateur à la personne – peuvent, à quelque époque que ce soit, se pourvoir par simple requête devant le Juge des libertés et de la détention du TGI du lieu de la situation de l"établissement qui, statuant en la forme des référés après débat contradictoire et après les vérifications nécessaires, ordonne, s"il y a lieu, la sortie immédiate. Une personne qui a demandé l"hospitalisation ou le procureur de la République, d"office, peut se pourvoir aux mêmes fins (article L3211-12 du Code de la santé publique).
Le juge des libertés et de la détention peut également se saisir d"office, à tout moment, pour ordonner qu"il soit mis fin à l"hospitalisation sans consentement. A cette fin, toute personne intéressée peut porter à sa connaissance les informations qu"elle estime utiles sur la situation d"un malade hospitalisé.
Un décret (n°2010-526) du 20 mai 2010 pris pour application de ces dispositions, fixe la nouvelle procédure de sortie immédiate des personnes hospitalisées sans leur consentement au titre des requêtes présentées, devant le juge des libertés et de la détention, à compter du 22 mai 2010. Cette procédure apparaît aux articles R3211-1 et suivants du Code de la santé publique.
Rédigé par la Rédaction de Net-iris et publié le mardi 25 mai 2010.
Source : www.net-iris.fr
Signature le 1er juin 2010 du Ministre de lEducation Nationale de conventions passées avec la FNASEP, la Ligue de lEnseignement, la FGPEP et Autisme France pour que ces associations recrutent des auxiliaires de vie scolaire en fin de contrat. Lattente de voir créer un vrai métier daccompagnant délèves handicapés reste très forte.
Source : AFP www.lefigaro.fr
La revue de presse du Centre de Ressources Autisme Rhône-Alpes du 27 avril au 3 mai.
Article du 2 avril 2010 à l"occasion des journées de l"Autisme dans « La Provence »:
Vous noterez , bien sûr , que c"est Autisme France qui rprésente 12000 familles et que l"Union ne représente qu" environ 10% de ce nombre.
Enfin , l"accent a été mis par le journaliste sur l"intervention de la Présidente d"Autisme France alors que l"essentiel a été, à l"occasion de ce colloque,
la rencontre et les échanges fructueux des acteurs majeurs impliqués dans l"Autisme et les Troubles Envahissants du Développement .
La qualité des intervenants et la pertinence de leurs exposés quant à la spécificité de l"Autisme ont été les clés de la réussite de ce colloque.
Alain Monot
Article de La Provence du 2 avril 2010
Voici ci-joint, un article paru dans le quotidien « La provence » qui relate la sortie en mer de Rémi, lors de la Tacita Med Cup.
Le Monde publie une enquête concernant l"autisme, intitulée « Les autistes cherchent leur école »
Lien de l"article sur le site du Monde
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